samedi 31 octobre 2009

Tell me that you'll open your eyes.

 You're pushing and pulling me down
You're leaving me breathless






I'm nice girl, a cool guy, a bit wild.
But something went wrong
'Bout a feeling sometimes so strong.




Your eyes
They flow
From all the pain I caused
I lost my cause
I only broke your heart
The rain will follow me, I feel like I can't breath, I'm sorry
I fell asleep again, when will this tempest end, I'm sorry
I dreamt that you were here, lying next to me,
I finally realised that I fucked up your life,
So I'm sorry


I'd die tonight
If only you were here
I'd tell you I'm sorry
I'd fucking disapear
Betrayed,
You hate me,
You look so pretty now
Without me
Alone
The tears come crashing down.


Ce sont des mots, des paroles de chansons, chansons qui me tiennent à coeur et résume ces deux voire trois derniers jours. Cette semaine fut forte en émotion, alors je ne dirai pas tout, voire rien. Ces vers en disent déjà trop, pour un seul aspect du moins. Pour le côté triste. Pour le reste, je ne sais pas encore si je veux en parler. Ce ne seront que des bribes de phrases, comme j'ai l'habitude de le faire. Vous avez l'habitude à force, n'est-ce pas ?


Savoir faire de l'instant un pur moment, Savoir le dompter, le graver dans sa mémoire, Savoir en faire un souvenir indelébile.



Parce que parfois, deux mots peuvent suffire à vous réjouir, à vous donner le sourire, à vous réconforter, à vous rendre toute chose, à vous donner des ailes ... Parce que deux mots, ça peut paraître idiot, mais ce n'est pas rien. Deux mots peuvent changer la donne, changer une vie entière. Vous savez, dans l'absence, dans l'attente qui parait interminable, il peut parfois y avoir un rayon de soleil, quelque chose qui rend les choses plus belles. Quand on attend quelqu'un, ou plutôt, quand quelqu'un part, déménage je veux dire, et part du jour au lendemain, sans que vous puissiez lui dire au revoir... Imaginez, si votre meilleur ami partait, qu'il n'avait pas le temps de vous dire au revoir, comment réagiriez-vous ? Posez vous donc la question. C'est vrai, c'est une question qu'on ne se pose jamais. Je ne me l'étais jamais posée moi, cette question. Jusqu'à ce que cela me tombe dessus. Août 2009, samedi 29, tard dans la nuit, il est partit. Il est partit et je n'ai pas pu lui dire au revoir. Il ne rentrerait que dans quatre mois. On ne dirait pas comme ça, on dit toujours "mon dieu comme le temps passe vite !" mais moi je peux vous assurer une chose, quatre mois, c'est horriblement long. Le vide, l'absence, prennent leur place, ils s'installent doucement, l'air de rien, et vous détruisent de l'intérieur, vous rongent petit à petit. Seulement voilà, il ne faut jamais cesser d'avancer, jamais. Un beau jour, octobre 2009, jeudi 29, en fin d'après-midi, quand votre téléphone sonne, que la voix de votre meilleur ami est à l'autre bout, juste là dans votre oreille... Vous voudriez pleurer, de joie, de nostalgie, de peur aussi, mais vous les retenez ces foutues larmes. Et il vous dit qu'il est là, pour peu de temps mais il est là. Alors vous sortez, très vite, et vous passez un moment magique à ses côtés. Pour quelques heures, le vide est comblé. Revenons en à ces deux mots, ces deux mots qui ont changé ma vie. Au moment de repartir, il m'a regardée et il a dit en souriant: "à Noël". Ce n'est rien me direz vous, ce n'est rien pour vous, bande d'ignorants. Pour moi, c'est un nouveau départ, un nouvel espoir, une nouvelle page. Je ne cesserai jamais de l'attendre, jamais. Parce qu'à Noël ...

Love me Love me , Say that you love me .



Parce que des shooting comme ça entre 1h & 2h30 du matin,
avec toi, j'en voudrais tous les jours ! ...



Parce que t'es mon modèle n°1 ex aequo
première place avec Maëva...



Parce que, Justin Bieber est à nous ! J.B. ...



Parce qu'avec toi, rire c'est tout le temps, et qu'tu
m'redonnes le sourire quand ça va pas ...



Parce que putain, t'es tellement belle ! ...



Parce que bientôt huit ans d'amitié, c'est pas rien putain ! ...



Pour tous les moments partagés, les confidences ...



Parce que t'es trop trash t'as vu ! ;D ...



Ma seule et unique presque cousine, c'est toi !
Parce qu'Amélie, je t'Aime.

dimanche 25 octobre 2009

We can build a new tomorrow , Today * .

" Tu as beau te forcer à sourire toute la journée,
je vois bien qu'intérieurement ça ne va plus. "


Я хочу, чтобы вы знали, что вы только ;
Я любить тебя .
 
&pour ceux qui ne parle pas Russe, j'emmerde. Je me fou que vous
compreniez ou non, après tout, moi je me comprend, c'est l'essentiel, non ?
 



vendredi 23 octobre 2009

Soulmates never die.

Parce que hier soir, 22 octobre 2009, c'était Strabourg, c'étais Zénith de Strasbourg, c'était concert! Arriver tôt, avoir froid, faire la queue, longtemps, longtemps, longtemps... 18h, ouverture (enfin!) des portes du zénith. Déchirage des billets, entrée à l'intérieur... Milieu, dans les gradins. Attente, encore. 19h, la scène est minucule, un groupe arrive sur scène, les premiers accords résonnent et là, le chanteur crie "Hi guys! We're The Expatriate & we're coming from Sydney Australiaaaaa!", tout le monde crie, et la chanson commence, les notes s'enchainent, les morceaux un à un défilent. Après une heure, le chanteur reprend et dit "i'm so sorry my french's so bad so i speak in english! You can buy our CD in the hall, & if you do that tomorrow we'll can have a big breakfast thanks of you guys!" et il ajoute "& we really want to thanks ******* to choose our band to do the first part of the concert, have fun!", le groupe se retire, les lumières se rallument. J'achète un truc à manger, l'attente parait interminable. D'un coup, les lumières s'éteignent, un projetté rond et rouge sur une toile blanche gigantesque qui occupe la scène puis on entend un souffle doux et envoûtant dans le micro, mais personne n'est sur scène. Un accord, un deuxième, je reconnais tout de suite For what it's worth, ma préférée de ce nouvel album, je laisse couler une larme, l'émotion est bien là. La toile blanche tombe littéralement au sol, et Brian se précipite sur la scène, Placebo est bel est bien là, sur la scène! S'ensuit Ashtray Heart, puis Soulmates never die arrive, une des plus belles. Mais, au moment où il devrait commencer à chanter, Brian, s'exprimant dans un français parfait dit: "Je suis désolé, mais je ne peux pas continuer comme ça." PEUR & PANIQUE GENERALES. Il continue: "Que vous filmiez, que vous preniez des photos, les gens du premier rang juste devant moi, juste là, d'accord, mais *en les mimant* nous voir dans un écran minuscule, à quoi ça sert? Putain mais pourquoi? C'est ça que vous appelez vivre!? Putain mais profitez de l'instant, du moment présent! Vivez merde!" puis il se tourne vers son groupe, s'excuse en anglais, et le concert reprend. Battle for the sun, puis Every me & Every you, un très belle chanson, encore une fois. Je ne tiens plus en place, je descend dans la fosse, la musique m'habite et je veux bouger, sauter partout, chanter, m'époumonner. Je ma faufile, toute petite que je suis, et me voilà là, en face de Brian, contre la barrière, à deux mètres à peine de lui! Je n'en crois toujours pas mes yeux, les chansons défiles, une à une: Devil in the details, Infra-red, Song to say goodbye, et ils s'en vont. Déjà? Tout le monde crie, c'était pour rire ils sont de retour. The never enfing why, Speak in tongues, Come undone, Breathe underwater. & d'autres, bien entendu. Malheureusement, après le petit coup de gueule de Brian, les photos ont été interdite, alors je n'en ai qu'une ou deux, mais les souvenirs eux, sont bien présents, croyez-moi. Les bleus sont aussi au rendez-vous! Mal de gorge, extinction de voix, mal au genou, ampoules, sentir la bière renversée par le mec de derrière, hurler, chanter, crier, sauter, danser, fermer les yeux, se laisse emporter, transporter, planer, VIVRE! Je n'oublierai jamais, jamais! 28/06/09 & 22/10/09, deux lieux, deux dates, deux groupes, des souvenirs, deux soirées, deux inoubliables. PLACEBO WAS PERFECT.


BAVEZ. Meme si cette vidéo n'est pas de moi, j'étais à peu près à la même place :)




" We can build a new tomorrow, today.. "

dimanche 18 octobre 2009

Ballad of big Nothing


 ARE YOU SERIOUS?
'Cause it was the best trip i've ever made. & i miss you all guys .


0ne day, i'll come to see you again, i swear.


Wonderful party *
You're unforgettable. I LOVE YOU ALL.

mardi 13 octobre 2009

This time it's SINK or swim .








LONDON WAS WONDERFUL , GREAT , UNFORGETTABLE , MAGIC , PERFECT * .

samedi 10 octobre 2009

You can do what you want to, there's no one to stop you .

Cette semaine, je n'avais pas d'inspiration pour ce post du week-end, et finalement,
le mieux, c'est peut-être vous parlez de Laurent, lui écrire un article.




Parce que Laurent, plus d'un an maintenant que nous ne nous sommes pas vus, et tu me manques, tellement, si tu savais. Combien de temps maintenant, que nous nous connaissons ? Deux ans ? Plus ? Je ne suis plus certaine de la date, mais peu importe. Je suis sûre d'une chose, c'est que depuis le début, tu as toujours été là, pour m'écouter, me réconforter, m'aider dans les moments difficiles, et j'espère vraiment avoir été à la hauteur de mon côté. En ce moment, les choses changent, toi et moi, chacun de notre côté, traçant nos routes, dans des directions presque opposées. Mais une fois de plus, peu importe. Nos conversations, que je relis sans cesse, me manquent, tes bras et ton sourire, me manquent aussi. Tu sais Laurent, à chaque fois que je met une robe, je pense à toi, et à cet après-midi là, qui fut fabuleux. Quand j'ouvre mon portable et que cette photo s'affiche, je ne peux m'empêcher de penser à toi, et parfois même, je laisse couler la larme qui perle au coin de mon oeil. Cette photo, j'y tiens tant depuis le soir où je l'ai reçue, sans m'y attendre ! Tu sais Laurent, ce choix que tu as à faire, quelle que soit ta décision, ce sera la bonne, je te l'ai déjà dit, mais mieux vaut prévenir que guérir, pas vrai ? Alors écoute ton coeur Laurent, n'écoute rien d'autre que ton coeur. Parfois, je dois l'avouer, je me surprend à espérer que tu resteras, et que je pourrai te voir n'importe quand ; mais d'autres fois, je pense vraiment que si tu partais, je n'aurais aucun soucis à me faire, tu serais heureux, là-bas, en famille. Je ne sais pas ce que tu choisiras de faire, tout ce que je veux, c'est que tu sois heureux. Je ne veux que ton bonheur Laurent ! Je voudrais te serrer dans mes bras, rien qu'une fois, une dernière fois. Je voudrais repasser un après-midi avec toi, rien qu'avec toi. Sentir tes bras me serrer encore, encore plus fort qu'ils ne l'ont déjà fait. Aujourd'hui, je peux le dire, haut et fort, tu as changé ma vie. Grâce à toi, grâce à toi et tes mots, je suis vivante.




Si je devais choisir une chanson pour te représenter, je choisirais celle que forment les battements de mon coeur quand je vois ton nom. J'écrirais moi-même la mélodie et les paroles ; car de toutes les chansons qui existent, aucune n'est assez belle, forte, poignante & enivrante pour nous résumer, toi&moi, pour nous résumer, Nous&notre histoire ...



Je t'Aime Laurent, Petit Frère, Mon Ange.


samedi 3 octobre 2009

Quand deux moins un ne font plus qu'un .

C'était beau, trop beau pour être vrai. On le savait pourtant, qu'on ne tiendrait pas comme ça. Alors pourquoi avoir essayé ? Souffrir ? Non, ce n'est pas le mot. Des regrets ? Aucun. On m'a dit qu'il ne fallait pas, qu'il ne fallait jamais regretter. Je ne regrette rien, surtout pas. Juste, n'oublions pas, n'oublions rien, parce que ces deux mois ont été magiques, quoi qu'on en dise. Ca me manquera, assurément. Mais chut, n'est-ce pas ?




Ses mains, son sourire, son visage, son parfum, son rire, ses cheveux, ses yeux, ses lèvres, ses bras, ses blagues à deux balles, ses sweats trop grand pour moi, ses t-shirts, son cou, son petit grain de beauté, sa nuque, ses chansons, ses bisous, ses mots, ses sauts, ses bêtises, ses grimaces, me manquent et me manqueront. Je n'oublierai rien de ces deux mois. De la rencontre à la séparation, des couchers de soleil sur la plage, des sorties la nuit, des rochers, des méduses, de l'eau froide la nuit, du train, des chansons, de tous ces moments, des écorchures et des écorchés vifs. Des chutes, voici la chute. Nous pouvons désormais conjuguer tout cela au passé, chacun de notre côté. Ils étaient beaux, ces deux mois. Peut-être que finalement, je m'étais attachée. Mais je ne pleurerai pas, je ne verserai pas une larme, pas la moindre goutte salée. J'ai retenu mon souffle un instant, ravalé un sanglot, et j'ai sourit. J'ai sourit à notre amitié nouvelle. M&L.